Biographie
Qualifiée par la critique de « lumineuse », Virginia Pésémapéo Bordeleau est née dans le petit hameau de Rapides-des-Cèdres en 1951. Fille d’une mère crie et d’un père québécois métissé, elle est une artiste aux multiples talents. Bachelière en arts plastiques de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, elle s’est d’abord fait connaître comme artiste peintre, au Canada et de par le monde. Elle a exposé ses œuvres en France, au Mexique et au Danemark. En tant que poète et romancière, Virginia Pésémapéo Bordeleau aborde avec vérité et honnêteté des sujets variés tels que l’amour, la sexualité, la guerre, l’identité, la maternité et le deuil. Son premier recueil de poésie, De rouge et de blanc (Mémoire d’encrier, 2012), a reçu la mention Télé-Québec du Prix littéraire de l’Abitibi-Témiscamingue. On lui attribue le titre de première femme autochtone à avoir écrit un roman érotique en français avec L’amant du lac (Mémoire d’encrier, 2013). Parmi ses œuvres notoires, on retrouve Ourse bleue (La Pleine lune, 2007), L’enfant hiver (Mémoire d’encrier, 2014) et Je te veux vivant (Éditions du Quartz, 2016). Elle vit en Abitibi-Témiscamingue où elle continue de peindre, de faire de la sculpture et, bien entendu, d’écrire avec cette authenticité qui lui est propre.
Livres
Ourse bleue, Lachine, Pleine lune, 2007 [réédition : Paris, Litté, 2009].
De rouge et de blanc, Montréal, Mémoire d’encrier, 2012 [réédition en 2017].
L’amant du lac, Montréal, Mémoire d’encrier, 2013.
L’enfant hiver, Montréal, Mémoire d’encrier, 2014.
Je te veux vivant, Rouyn-Noranda, Éditions du Quartz, 2016.
Celle-qui-va, Wendake, Éditions Hannenorak, 2018.
Poésie en marche pour Sindy, Rouyn-Noranda, Éditions du Quartz, 2018.
La bienveillance des ours : correspondance (avec François Lévesque), Rouyn-Noranda, Éditions du Quartz, 2020, 135 p.
Ourse Bleue : Piciskanâw Mask Iskwew, Rouyn-Noranda, MA, musée d’art et Éditions du Quartz, 2020, 119 p.
En traduction
Winter Child, Calgary, Freehand Books, 2017 [traduction de Susan Ouriou et Christelle Morelli].
Blue Bear Woman, Toronto, Inanna Publications, 2019 [traduction d’Ourse bleue par Susan Ouriou et Christelle Morelli].
« The Lakota shaman », dans Michel Jean (dir.), Amun, Holstein (Ontario), Exile Editions, 2020 [traduction en anglais par Kathryn Gabinet-Kroo].
« Der Schamane Lakota », dans Michel Jean (dir.), Amun, Klagenfurt (Autriche), Wieser Verlag, 2020 [traduction en allemand par Michael von Killisch-Horn].
The Lover, The Lake, Calgary, Freehand Books, 2021 [traduction de L’amant du lac par Susan Ouriou].
En revues, collectifs, anthologies et autres
« Chiâlage de métisse », Recherches amérindiennes au Québec, vol. 13, no 4, 1983, p. 265-267.
« Ma race-mère », La vie en rose, no 17, mai 1984, p. 32.
« Métisse d’ici », Rencontre, vol. 12, no 4, 1991, p. 11.
« Des opinions et de l’expérience », Liberté, nos. 196-197, dossier « Liberté aux Indiens », 1991, p. 106-108.
« Femme terre », Estuaire, no 90, décembre 1997, p. 59-62.
« Ourse bleue [extrait] », Littérature amérindienne du Québec : Écrits de langue française, sous la direction de Mauricio Gatti, Montréal, Bibliothèque québécoise, 2009 [2004], p. 151-153.
[Poèmes], Moebius, no 124, dossier « Amérindiens », 2010, p. 17-20.
« Le crabe noir », Prix littéraire de l’Abitibi-Témiscamingue, 2012, en ligne.
« La voix des ancêtres », Relations, no 758, juillet-août 2012, p. 23, accessible en ligne.
« La voix de moushoum Ignace », Les bruits du monde, sous la direction de Laure Morali et de Rodney Saint-Éloi, Montréal, Mémoire d’encrier, 2012, p. 133-135.
« Toi, comme la Vie », Relations, no 759, septembre 2012, p. 30-31, accessible en ligne.
« Nos ancêtres », Relations, no 760, octobre-novembre 2012, p. 30-31, accessible en ligne.
« La cérémonie des Premiers pas », Relations, no 761, décembre 2012, p. 30-31, accessible en ligne.
« L’origine des raquettes », Relations, no 762, janvier-février 2013, p. 30-31, accessible en ligne.
« Le don de la vie », Relations, no 763, mars 2013, p. 28-29, accessible en ligne.
« La mort de ton oncle », Relations, no 764, avril-mai 2013, p. 28-29, accessible en ligne.
« L’étoile du matin », Relations, no 765, juin 2013, p. 28, accessible en ligne.
« La poésie », Relations, no 766, juillet-août 2013, p. 30-31, accessible en ligne.
« Je te veux vivant », Hopala! La Bretagne au monde, no 43, dossier « Premières Nations du Québec », 2013, p. 36-38.
« Déclaration de paix des femmes / Women’s Declaration of Peace », Poèmes et récits autochtones du Québec, sous la direction de Susan Ouriou, Banff Center Press, 2014, p. 162-167.
« Mistenapeo », Sur les traces de Champlain : Un voyage extraordinaire en 24 tableaux, Sudbury, Prise de parole, 2015, p. 55-64.
« Le courage des mots », Inter, art actuel, no 122, dossier « Affirmation autochtone », hiver 2016, p. 60.
« Le chamane Lakota », Amun, sous la direction de Michel Jean, Montréal, Stanké, 2016, p. 40-46.
« L’animal et l’inspiration », Relations, no 784, mai-juin 2016, p. 25.
« Koukoume Ka Wapakaout’ », Recherches amérindiennes au Québec, vol. 46, no 2-3, 2016, p. 11-12.
[Poème tiré de Je te veux vivant], Journée du poème à porter, La poésie partout, 2018.
« Poésie en marche pour Sindy – extrait », dans Adina Balint, Irène Chassaing et Lise Gaboury-Diallo (dir.), Rencontre des imaginaires, imaginaires transculturels au Canada et dans les Amériques, Winnipeg, Presses universitaires de Saint-Boniface, 2018.
« Établir le dialogue par l’art contemporain en région », Histoire Québec, vol. 24, no 4, 2019, p. 9-11.
« Art militant autochtone : Sindy Ruperthouse et nos sœurs en esprit », À bâbord!, no 78, février-mars 2019.
« Émy et Léa », texte inédit pour la 9e édition du Salon du livre des Premières Nations, novembre 2020, en ligne.
« Femmes porteuses de mots », Lettres québécoises, no 180, printemps 2021, p. 10-12 [repris dans Le Devoir, 20 avril 2021].
[Trois extraits de Poésie en marche pour Sindy], dans Vanessa Bell et Catherine Cormier-Larose (dir.), Anthologie de la poésie actuelle des femmes au Québec (2000-2020), Montréal, Éditions du Remue-Ménage, 2021, p. 190-193.
« Les enfants lumière », dans Michel Jean (dir.), Wapke, Montréal, Stanké, 2021 p. 55-67.
Prix d’excellence à la création du CALQ (Abitibi-Témiscamingue) 2006
Prix littéraire de l’Abitibi-Témiscamingue (Mention Télé-Québec) 2007
Prix littéraire de l’Abitibi-Témiscamingue (Bourse des Libraires) 2012
Prix du CALQ – Artiste de l’année en Abitibi-Témiscamingue 2020
Entrevue à la radio de Radio-Canada Abitibi à l’occasion de la sortie de L’enfant hiver, 19 septembre 2014, en ligne.
« Biz a lu L’enfant hiver de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Plus on est de fous, plus on lit, 15 décembre 2014, en ligne.
Entrevue de Virginia Pésémapéo Bordeleau avec François Labbé, émission Histoires d’ici, TVC9, hiver 2018, 1re partie et 2e partie.
Catherine Perrin, « Comment faire émerger la littérature autochtone : entrevue avec Virginia Pésémapéo Bordeleau et Pierrot Ross-Tremblay », Médium large, ICI Première, 1er mars 2019, en ligne.
Éric St-Laurent (réalisation), Virginia Pésémapéo Bordeleau, lauréate du Prix du CALQ, Télé-Québec Abitibi-Témiscamingue, octobre 2020, en ligne.
« Le corps », balado littéraire du Salon du livre des Premières Nations, novembre 2020, en ligne.
Dans l’univers de Virginia Pesemapeo-Bordeleau – Hommage à une femme de cœur, Salon du livre Abitibi-Témiscamingue / Adama Productions, 2021, en ligne.
Portraits et comptes rendus
Gilles Rioux, « Virginia Pésémapéo Bordeleau : le jeu avec le feu », Vie des arts, vol. 38, no 152, automne 1993, p. 48-49, accessible en ligne [sur une exposition].
Danielle Laurin, « Un côté rouge, un côté blanc », Le Devoir, 10 novembre 2007, p. F3 [sur Ourse bleue].
Martine Desjardins, « La page qui refuse d’être tournée », L’actualité, vol. 33, no 2, février 2008, p. 77 [sur Ourse bleue].
Normand Cazelais, « Un roman réussi », Lettres québécoises, no 130, été 2008, p. 29 [sur Ourse bleue], accessible en ligne.
Marie-Hélène Paquin, « Les couleurs selon Virginia Pésémapéo Bordeleau », Le Citoyen, 21 septembre 2011 [sur une exposition].
Marie-Hélène Paquin, « Un premier recueil pour Virginia Pésémapéo Bordeleau », La Frontière, 27 avril 2012 [sur De rouge et de blanc].
Ariane Ouellet, « Une artiste qui crée comme elle respire », L’indice bohémien, octobre 2012.
Marie-Christine Blais, « Virginia Pésémapéo Bordeleau : le rouge et le blanc », La Presse, 2 mars 2013, accessible en ligne [sur L’amant du lac].
Danielle Laurin, « Déterrer la graine de la joie », Le Devoir, 13 mars 2013, p. F3 [sur L’amant du lac].
Ginette Bernatchez, « L’amant du lac », Québec français, no 169, 2013, p. 120.
Marie-Christine Blais, « Au nom du père et du fils », La Presse +, 19 octobre 2014, accessible en ligne [sur L’enfant hiver].
Danielle Laurin, « Un cri qui déchire », Le Devoir, 1er novembre 2014, p. F2 [sur L’enfant hiver].
Alice Lefilleul, « D’amour et de douleur : L’enfant hiver de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Artichaut Magazine, décembre 2014, en ligne.
Jonathan Lamy, « L’enfant hiver », Collections, vol. 2, no 5, septembre 2015, p. 34.
Alexandra Mignault et Josée-Anne Paradis, « Les plumes autochtones : Virginia Pésémapéo Bordeleau », Les Libraires, no 93, février-mars 2016, p. 30.
Angie Landry, « Je te veux vivant », Ici Radio-Canada – Abitibi-Témiscamingue, 27 septembre 2016, en ligne.
Myriam Grenier, « Virginia Pésémapéo Bordeleau parle de la mort et de l’espoir », Le Citoyen, 5 octobre 2016, p. 43 [sur Je te veux vivant].
Sophie Rouillard, « Une ode à la vie de Sindy Ruperthouse », Le Citoyen, 29 novembre 2018, p. 30, également en ligne.
Anne Blondin, « Virginia Pésémapéo Bordeleau en neuf questions », L’Éclat, 7 décembre 2018, p. 17.
Alexandra Joan Bournelis, « (Inter)dependencies », Canadian Literature, no 237, 2019, p. 136-137, également en ligne.
Sophie Rouillard, « Une escapade poétique en Suisse pour Virginia Pésémapéo », Le Citoyen, 26 mars 2019, p. 17, également en ligne.
Marie-Michèle Plourde, « Celle-qui-va », Lurelu, vol. 42, no 2, automne 2019, p. 32.
Sophie Rouillard, « Un hommage unique pour Virginia Pésémapéo Bordeleau », Le Citoyen, 12 novembre 2019, en ligne.
Isabelle Houde, « Les lumières vives de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Le Soleil, 13 novembre 2019, en ligne.
Geoffrey Gaye, « Une histoire autochtone fait lire les Calgariens en français », Le Franco, 27 février 2020, en ligne.
Dominic Tardif, « Virginia Pésémapéo Bordeleau, de colère et d’espoir », Le Devoir, 8 août 2020.
Patrick Rodrigue, « 40 ans de carrière pour Virginia Pesemapeo Bordeleau », Le Citoyen, 28 août 2020.
Vanessa Limage, « Une exposition rétrospective pour Virginia Pésémapéo Bordeleau », Radio-Canada, 24 septembre 2020, en ligne.
Karine Bénézet, « Virginia Pésémapéo Bordeleau : L’art pour vivre et pour survivre », L’itinéraire, 15 juin 2021, p. 28-33.
Études
Marie-Hélène Jeannotte, « L’identité composée : hybridité, métissage et manichéisme dans La saga des Béothuks de Bernard Assiniwi et Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », International Journal of Canadian Studies / Revue internationale d’études canadiennes, no 41, 2010, p. 297-312, accessible en ligne.
Martin Hébert, « Du territoire au texte : Récit d’une quête de vision dans Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Québec français, no 162, été 2011, p. 35-37, accessible en ligne.
Julie Nadeau-Lavigne, « Approches du territoire dans la littérature autochtone du Québec : La saga des Béothuks de Bernard Assiniwi et Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », mémoire de maîtrise en études littéraires, Université du Québec à Montréal, 2012, accessible en ligne.
Cassandre Sioui, « De l’enchevêtrement des frontières à la précarité identitaire : une étude de la représentation des lieux dans Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau et Kuessipan de Naomi Fontaine », mémoire de maîtrise en lettres, Université de Sherbrooke, 2014, accessible en ligne.
Mélissa Larocque, « L’hybridité dans le roman autochtone : Le Bras coupé, Nipishish et Ourse bleue », maîtrise en lettres françaises, Université d’Ottawa, 2016, accessible en ligne.
Jonathan Lamy, « La poésie amérindienne : un genre décomplexé pour se décoloniser », Possibles, dossier « Nouvelles mouvances autochtones », printemps 2016, en ligne.
Joëlle Papillon, « Apprendre et guérir : Les rapports intergénérationnels chez An Antane Kapesh, Virginia Pésémapéo Bordeleau et Naomi Fontaine », Recherches amérindiennes au Québec, vol. 46, no 2-3, 2016, p. 57-65, accessible en ligne.
David Laporte, « Sur les routes/roots : Identité culturelle et “poétique de l’espace métissé” dans Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Recherches amérindiennes au Québec, vol. 46, no 2-3, 2016, p. 67-76, accessible en ligne.
Sarah Henzi, « Entre orature et écriture : souveraineté, décolonisation et culture populaire autochtones », Canadian Literature, no 230-231, automne 2016, p. 198-213.
Jean-François Létourneau, Le territoire dans les veines, Montréal, Mémoire d’encrier, 2017, p. 160-161 et 171-172.
Zishad Lak, « Le chronotope de la résurgence dans Kuessipan de Naomi Fontaine, Elle et nous de Michel Jean et Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », L’espace-temps dans les littératures périphériques du Canada, Ottawa, David, 2018.
Soraya Lani, « Pour une lecture “hétérotemporelle” de la fiction amérindienne brésilienne et québécoise : Ourse bleue, de Virginia Pésémapéo Bordeleau et Todas as coisas são pequenas, de Daniel Munduruku », dans Zilá Bernd, Patrick Imbert et Rita Olivieri-Godet (dir.), Espaces et littératures des Amériques : mutation, complémentarité, partage, Québec, Presses de l’Université Laval, 2018, p. 223-242.
Alice Charbonneau-Bernier, L’écriture subjective des enjeux contemporains dans les romans des auteures autochtones Virginia Pésémapéo Bordeleau et Naomi Fontaine, Thèse de maîtrise (M.A.), Université d’Ottawa, 2018.
Genève Rousseau, Repenser l’identité dans les romans autochtones des femmes au Canada : une analyse de la résistance littéraire autochtone, Mémoire (M.A.), Université de l’Alberta, 2018 [sur L’enfant hiver].
Marie Anne La Haye Les lieux de l’hivernité et leur relation à la nostalgie dans quatre romans québécois publiés de 1983 à 2014, Mémoire (M.A.), Université du Québec à Montréal, 2018 [sur L’enfant hiver].
Hilary Walton, « Un lac comme personnage principal ? Une étude de la volonté et de l’esprit du lac Abitibi dans L’amant du lac de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Voix plurielles, vol. 16, no 1, 2019, p. 17-29, également en ligne.
« Un érotisme humanisant : amour et violence dans L’amant du lac de Virginia Pésémapéo Bordeleau » et « Les relations spectrales et animales dans Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », dans Isabella Huberman, Pratiques et poétiques des histoires personnelles dans les littératures autochtones francophones au Québec, Thèse (Ph. D.), Université de Toronto, 2019, p. 91-107 et 134-150.
Laurence Cros, « “Au cœur de la solitude” : Parler aux fantômes pour trouver la guérison dans le roman Ourse Bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Études canadiennes / Canadian Studies, no 87, 2019, p. 107-124.
Zishad Lak, « Autonomie hétéronormative et auto-hétéronomie queer : Espace et socialité dans Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau », dans Isabelle Boisclair, Pierre-Luc Landry et Guillaume Poirier Girard (dir.), QuébeQueer : le queer dans les productions littéraires, artistiques et médiatiques québécoises, Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, 2020.
Marie-Eve Bradette, « Devenir langage du corps : une lecture de L’amant du lac de Virginia Pésémapéo Bordeleau », Langue(s) en portage : résurgences et épistémologies du langage dans les littératures autochtones contemporaines, Thèse (Ph. D.), Université de Montréal, 2020, p. 79-96.
Comptes rendus en anglais
Lindsay Nixon, « Intergenerational Constellations [sur Winter Child] », Montreal Review of Books, été 2017, en ligne.
Jade Colbert, « Review: Virginia Pésémapéo Bordeleau’s Winter Child, Robert Pepper-Smith’s The Orchard Keepers and Terri Favro’s Sputnik’s Children », The Globe and Mail, 21 juillet 2017, en ligne.
Patricia Robertson, « Winter Child », The Winnipeg Review, 25 septembre 2017.
JC Sutcliffe, « Virginia Pésémapéo Bordeleau’s Winter Child », Canadian Notes & Queries, no 100, automne 2017, en ligne.
« Ourse bleue », dans Tomson Highway, From Oral to Written: A Celebration of Indigenous Literature in Canada, 1980-2010, Vancouver, Talonbooks, 2017, p. 75-76.
James M. Fisher, « Blue Bear Woman by Virginia Pesemapeo Bordeleau », The Miramichi Reader, 12 septembre 2019, en ligne.
Carly Vandergriendt, « Blue Bear Woman by Virginia Pesemapeo Bordeleau », Quill & Quire, 25 novembre 2019, en ligne.
Linda Morra, « Heart of Eeyou Istchee [sur Blue Bear Woman] », Montreal Review of Books, 12 mars 2020, en ligne.
Christina Turner, « The Floodgates: A Cree poet journeys home [sur Blue Bear Woman] », Literary Review of Canada, mars 2020, en ligne.