Photo de Pierre-Marc Laliberté
« Je suis
j’existe
je suis venue apporter la lumière aux nations
je suis venue avec la lumière
Je suis revenue pour rester
je suis revenue pour prendre pays
lui donner son nom de terre »
– Natasha Kanapé Fontaine, Bleuets et abricots, Mémoire d’encrier, 2016.
Biographie
Née en 1991, Natasha Kanapé Fontaine est poète-interprète, écrivaine, comédienne, artiste en arts visuels et militante pour les droits autochtones et environnementaux. Originaire de la communauté innue de Pessamit sur la Côte-Nord, elle vit à Montréal. Natasha Kanapé Fontaine s’est d’abord fait connaître par sa poésie. Elle publie quatre recueils chez Mémoire d’encrier : N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures (2012), Manifeste Assi (2014), Bleuets et abricots (2016) ainsi que Nanimissuat / Île Tonnerre (2018). Natasha Kanapé Fontaine publie dans des revues et contribue à différents collectifs, notamment Sortir le Québec du pétrole (Éditions Somme toute, 2015), Femmes rapaillées (Mémoire d’encrier, 2016) et Amun (Stanké, 2016). Avec Deni Ellis Béchard, elle signe le livre épistolaire Kuei, je te salue : conversation sur le racisme (Écosociété, 2016). En 2021, elle publie son premier roman, Nauetakuan, un silence pour un bruit (Éditions XYZ). Habitée par l’esprit du mouvement Idle No More, elle parcourt le Québec, le Canada et le monde avec un message de justice, de réconciliation, de guérison et d’échange entre les peuples.
Livres de poésie
N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures, Montréal, Mémoire d’encrier, 2012 [réédition : J’achève mon exil pour un retour tremblant, Sudbury, Prise de parole, 2022].
Manifeste Assi, Montréal, Mémoire d’encrier, 2014.
Bleuets et abricots, Montréal, Mémoire d’encrier, 2016.
Nanimissuat / Île Tonnerre, Montréal, Mémoire d’encrier, 2018.
Autres livres
Kuei, je te salue : conversation sur le racisme (avec Deni Ellis Béchard), Montréal, Écosociété, 2016 [réédition : 2021].
Nauetakuan, un silence pour un bruit, Montréal, Éditions XYZ, 2021 [réédition : La Roche-sur-Yon (France), Éditions Dépaysage, 2023].
Kanatuut, Montréal, Stanké, 2023.
En revues, collectifs, anthologies et autres
« Les encerclés », Le Mouton noir, 23 janvier 2012, en ligne.
« Les jours des feux, des tambours et des meutes », Les bruits du monde, sous la direction de Laure Morali et de Rodney Saint-Éloi, Montréal, Mémoire d’encrier, 2012, p. 29-33.
« Territorialité », L’agenda des Femmes 2013, Montréal, Éditions du Remue-ménage.
« L’Enfant qui m’a donné des poux », Terres de Trickster, Montréal, Possibles Éditions, 2013, p. 97-108.
« Tu as amené le vent », Hopala! La Bretagne au monde, no 43, dossier « Premières Nations du Québec », 2013, p. 44-45.
« Les Chants de la Terre ancienne », dans Le chant de la Terre Innue de Jean Bédard, Montréal, VLB, 2014.
« Exode », Moebius, no 143, novembre 2014, p. 83-86, en ligne.
« La dissidence de nos territoires », Sortir le Québec du pétrole, sous la direction de Ianik Marcil, Éditions Somme toute, Montréal, 2015, p. 303-306.
« Poème d’archipel », Littoral, no 10, printemps 2015, p. 184-185.
« Ma parole rouge sang », Relations, no 778, mai-juin 2015, p. 24-25, en ligne.
[Poèmes], Relations, no 780, septembre-octobre 2015, p. 30-31.
« Le chant des migrants », Relations, no 781, novembre-décembre 2015, p. 30-31.
« Qui suis-je si je ne suis pas le saumon? », Relations, no 782, janvier-février 2016, p. 42-43.
« Choc » et « Cri », Inter, art actuel, no 122, dossier « Affirmation autochtone », hiver 2016, p. 21 et 59.
« Nous nous soulèverons », Relations, no 783, mars-avril 2016, p. 42-43.
« Je suis la sirène aux grands bois », Relations, no 784, mai-juin 2016, p. 42-43.
« Pour que nous puissions vivre », Relations, no 785, juillet-août 2016, p. 42-43.
« Le retour vers soi », À bâbord, no 66, octobre-novembre 2016.
« Je suis la Femme Rapaillée », Les femmes rapaillées, sous la direction d’Isabelle Duval et de Ouanessa Younsi, Montréal, Mémoire d’encrier, 2016, p. 166-170.
[Poème], Sous la ceinture : Unis pour vaincre la culture du viol, sous la direction de Maude B.-Pilon, Montréal, Québec Amérique, 2016, p. 79-84.
« J’ai brûlé toutes les lettres de mon prénom », Amun, sous la direction de Michel Jean, Montréal, Stanké, 2016, p. 10-15.
« Les caribous électriques » (avec Marie-Andrée Gill), Zone occupée, no 11, 2016, p. 42-45.
« Dans le ventre des peuples », Relations, no 790, mai-juin 2017, p. 29-30.
« Éditorial (rédactrice en chef invitée) », L’Itinéraire, 15 août 2017, p. 7.
Tracer un chemin : Meshkanatsheu / Écrits des Premiers peuples, sous la direction d’Olivier Dezutter, Naomi Fontaine et Jean-François Létourneau, Wendake, Hannenorak, 2017, p. 58 et 129-132.
« Autochtones : l’inexorable insurgence » (avec Nawel Hamidi), Le Devoir, 2 octobre 2018, en ligne.
« L’inexorable insurrection » (avec Nawel Hamidi), Liberté, no 321, automne 2018, p. 14-16.
« L’âge de la renaissance des Premiers Peuples : la politique organique », Liberté, no 321, , automne 2018, p. 27-28.
« Natasha Kanapé Fontaine dans l’univers de Joséphine Bacon : un café en innu-aïmun », Les libraires, no 108, septembre-octobre 2018, p. 16-18, en ligne.
Contribution à Muliats, pièce de théâtre collective, Wendake, Éditions Hannenorak, 2018.
Claudia Larochelle, « Les lectures de… Natasha Kanapé Fontaine », L’actualité, 5 décembre 2018, également en ligne.
« Natasha Kanapé Fontaine : je vis et je vois le vivant », Châtelaine, 20 décembre 2018, également en ligne.
« Ka Petshisstess et les géants : le conte de Noël de Natasha Kanapé Fontaine », La Presse, 25 décembre 2018, en ligne.
« La Réserve », avec version audio et traduction en allemand, Lyrikline, 2019, en ligne.
Poème tiré de Nanimissuat / Île tonnerre, avec traduction en maori, La Journée du poème à porter, La poésie partout, avril 2019, en ligne.
« Sur la trace des nomades », Relations, no 803, juillet-août 2019.
« Sky dancer », dans Véronique Marcotte (dir.), Les Disparus d’Ély : Mortels, Montréal, Québec Amérique, 2019, p. 33-46.
« Lettre à Felwine Sarr : petites méditations innues », Mœbius, no 166, automne 2020, p. 149-154.
Extrait de Kuei, je te salue : conversation sur le racisme (avec Deni Ellis Béchard), La Presse, 16 janvier 2021, en ligne.
[Trois extraits de Bleuets et abricots], dans Vanessa Bell et Catherine Cormier-Larose (dir.), Anthologie de la poésie actuelle des femmes au Québec (2000-2020), Montréal, Éditions du Remue-Ménage, 2021, p. 128-131.
« Kanatabe Ishkueu », dans Michel Jean (dir.), Wapke, Montréal, Stanké, 2021, p. 157-177.
« Avant-propos », Ce qui nous lie : l’indépendance pour l’environnement et nos cultures, Montréal, Écosociété, 2021.
« La vérité des ours », La Presse, 17 octobre 2021, en ligne.
« Craquements », La Presse, 26 septembre 2021, en ligne.
« Sur le chemin des Memekueshut », La Presse, 28 novembre 2021, en ligne.
« Poésie », Lettres québécoises, no 183, hiver 2021, p. 34-36.
« Nui innu-aimin nikan : je veux parler innu dans l’avenir », La Presse, 19 décembre 2021, en ligne.
En traduction
Do Not Enter My Soul in Your Shoes, Toronto, Mawenzi House, 2013 [traduction de Howard Scott].
Assi Manifesto, Toronto, Mawenzi House, 2016 [traduction de Howard Scott].
Kuei, My Friend : A Conversation on Racism and Reconciliation (avec Deni Ellis Béchard), Vancouver, TalonBooks, 2018 [traduction de Howard Scott].
Blueberries and Apricots, Toronto, Mawenzi House, 2018 [traduction de Howard Scott].
« I burned all the letters in my first name », dans Michel Jean (dir.), Amun, Holstein (Ontario), Exile Editions, 2020 [traduction en anglais par Kathryn Gabinet-Kroo].
« Ich habe alle Buchstaben meines Vornamens verbrannt », dans Michel Jean (dir.), Amun, Klagenfurt (Autriche), Wieser Verlag, 2020 [traduction en allemand par Michael von Killisch-Horn].
Kuei, ich grüße dich : Ein Gespräch über Rassismus, Klagenfurt (Autriche), Drava, 2021 [traduction en allemand de Kuei, je te salue par Michael von Killisch-Horn].
« Kanatabe Ishkueu », dans Michel Jean (dir.), Wapke, Holstein (Ontario), Exile Editions, 2022 [traduction en anglais].
« Kanatabe Ishkueu », dans Michel Jean (dir.), Wapke, Klagenfurt (Autriche), Wieser Verlag, 2023 [traduction en allemand].
Traductions
Leanne Betasamosake Simpson, Cartographie de l’amour décolonial, Montréal, Mémoire d’encrier, 2018 [traduction de Islands of Decolonial Love par Natasha Kanapé Fontaine et Arianne Des Rochers].
Carole Lindstrom, Nous sommes les protecteurs de l’eau, Montréal, Bayard, 2021 [traduction de We Are Water Protectors par Gérard Muguet et Natasha Kanapé Fontaine].
Allison Mills, Entres les fantômes et moi, Montréal, Bayard, 2021 [traduction de The Ghost Collector par Gérard Muguet et Natasha Kanapé Fontaine].
Leanne Betasamosake Simpson, On se perd toujours par accident, Montréal, Mémoire d’encrier, 2020 [traduction de This Accident of Being Lost par Natasha Kanapé Fontaine et Arianne Des Rochers].
Billy-Ray Belcourt, Mécanismes NDN d’adaptation : notes de terrain, Montréal, Triptyque, 2022 [traduction de NDN Coping Mecanism : Notes from the Field par Natasha Kanapé Fontaine].
Caroline Lavergne, Le film de Sarah, Montréal, Nouvelle adresse, 2022 [traduction des textes en innu-aimun par Natasha Kanapé Fontaine].
Tasha Spillett, Les étoiles m’ont chanté ton nom, Montréal, Bayard, 2021 [traduction de I Sang You Down From the Stars par Natasha Kanapé Fontaine].
Prix d’excellence de la Société des Écrivains francophones d’Amérique 2013 (pour N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures)
Finaliste au Prix Émile-Nelligan 2014 (pour Manifeste Assi)
Finaliste au Grand Prix du livre de Montréal 2016 (pour Bleuets et abricots)
Prix Droits et Libertés 2017, Commission des droits de la personne
Liste préliminaire du Prix des libraires du Québec 2019 – catégorie Poésie québécoise (pour Nanimissuat / Île tonnerre)
Finaliste au prix de l’ADISQ, catégories Artiste autochtone de l’année et Révélation de l’année, 2022
Prix GAMIQ, catégorie EP Folk, 2022 [pour Nui Pimuten]
Audio
« Bleuets et abricots, le sucre poétique du territoire », émission Plus on est de fous, plus on lit, Radio-Canada, 24 février 2016, en ligne.
« Entrevue avec Natasha Kanapé Fontaine : représentation autochtone à l’écran », émission La soirée est (encore jeune), Radio-Canada, 11 mars 2018, en ligne.
« Nanimissuat / Île Tonnerre de Natasha Kanapé Fontaine : estomper la colère avec la poésie », émission Plus on est de fous, plus on lit, Radio-Canada, 10 mai 2018, en ligne.
Marie-France Bazzo, « Natasha Kanapé Fontaine : poétesse avant tout », Les grands entretiens, ICI Première, 11 février 2019, en ligne.
« Tshishikushkueu : Natasha Kanapé Fontaine en quête de la vraie culture innue », Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première, 23 août 2019, en ligne.
« Natasha Kanapé Fontaine parle du grand amour et de l’amour « décolonial » », L’amour en série, Radio-Canada, 7 janvier 2020, en ligne.
« Les incontournables culturels autochtones de Natasha Kanapé Fontaine », Pénélope, Radio-Canada, 20 octobre 2020, en ligne.
« La nuit et le silence avec Natasha Kanapé Fontaine », balado Signal nocturne, Transistor Média / La fabrique culturelle, novembre 2021, en ligne.
« Nauetakuan et le voyage initiatique de Natasha Kanapé Fontaine », émission Plus on est de fous, plus on lit, Radio-Canada, 22 novembre 2021, en ligne.
« Natasha Kanapé Fontaine» , balado Confluents, épisode 23, Mission chez nous, mars 2022, en ligne : partie 1, partie 2.
« Nauetakuan, un silence pour un bruit lu par Soleil Launière », Radio-Canada Ohdio, [sans date], en ligne.
Vidéo
Natasha Kanapé Fontaine : femme-territoire (réalisation : Myriam Leblond), La fabrique culturelle, février 2018, en ligne.
Natasha Kanapé Fontaine (réalisation : Karen Cho), CBC, série « Art Is My Country », 2018, en ligne.
Christian Bégin, « Natasha Kanapé Fontaine [Entrevue] », Y’a du monde à messe, Télé-Québec, juin 2018, en ligne.
Alexis Fortier Gauthier (réalisation), « Tio’tia:ke (vidéo officiel) » de Natasha Kanapé Fontaine et Random Recipe, Musique nomade, 15 novembre 2018, en ligne.
Santiago Bertolino (réalisateur), Nin e Tepueian – Mon cri [Documentaire autour de Natasha Kanapé Fontaine], Montréal, Les Films du 3 mars, 2019, 82 min, en ligne.
Louis-Philippe Ouimet, « Cinq minutes avec Natasha Kanapé Fontaine [Entrevue] », Le Téléjournal, Radio-Canada Info, 2 août 2019, en ligne.
Extrait du spectacle Nui Pimuten – Je veux marcher, La Tribu, octobre 2019, en ligne.
LIVE : Natasha Kanapé Fontaine, KWE! À la rencontre des peuples autochtones, juillet 2022, en ligne.
« Natasha Kanapé Fontaine / Nauetakuan, un silence pour un bruit », émission Claudia à la page, Savoir média, novembre 2022, en ligne.
« Natasha Kanapé Fontaine », Comme un livre ouvert, épisode 22, avec Samuel Larochelle, 30 janvier 2023, en ligne.
Portraits et entretiens
André Ducharme, « Poétesse et peintre, Natasha Kanapé Fontaine slame au Festival international de la littérature », L’Actualité, 17 septembre 2013.
Mario Cloutier, « Natasha Kanapé Fontaine : Innue assise », La Presse, 2 juin 2014, en ligne.
Entrevue avec Maurizio Gatti, Littoral, no 10 « L’écriture innue », printemps 2015, p. 128-131.
Monique Durand, « Venir à l’écriture : Joséphine Bacon, Rita Mestokosho, Naomi Fontaine et Natasha Kanapé Fontaine », Littoral, no 10, printemps 2015, p. 141-145.
Alexandra Mignault, « Puissante poésie », Les Libraires, no 93, février 2016, p. 32-33.
Florence Morin-Martel, « Natasha Kanapé Fontaine : la poésie de la revendication », Le fil rouge, mis en ligne le 2 février 2016, en ligne.
Nathalie Collard, « Natasha Kanapé Fontaine : Je dis “je” pour dire les autres », La Presse, 8 mars 2016, en ligne.
Marc Cassivi, « Natasha Kanapé Fontaine : se tenir debout », La Presse, 4 mai 2016, en ligne.
Andréanne Chevalier, « Deni Ellis Béchard et Natasha Kanapé Fontaine : Prouver que le dialogue existe », Métro, 9 mai 2016, p. 4.
Éric Martin, « Natasha Kanapé Fontaine : Une approche multidisciplinaire de l’art », Le Nord-Côtier, 5 août 2016, en ligne.
Christophe-Géraldine Métral, « Natasha Kanapé Fontaine : de l’affirmation innue à la réconciliation de tous », Les vagabonds sans trêves, mis en ligne en avril 2017, en ligne.
Steve Bergeron, « Natasha Kanapé Fontaine : un recueil d’émancipation », La Tribune, 6 octobre 2016, en ligne.
Rima Elkouri, « Six femmes et cinq secrets », La Presse, 26 octobre 2016, en ligne.
Laurance Gallant, « Natasha Kanapé Fontaine : genèse et préoccupations d’une porte-voix », Radio-Canada Est-du-Québec, 4 novembre 2016, en ligne.
Emmanuel Delatour, « Natasha Kanapé Fontaine : faire connaître la femme autochtone », Le Journal de Rosemont La Petite-Patrie, 22 novembre 2016, p. 4.
Christophe-Géraldine Métral, « Natasha Kanapé Fontaine : de l’affirmation innue à la réconciliation de tous », Les vagabonds sans trêves, mis en ligne en avril 2017, en ligne.
Josianne Dulong-Savignac, « La parole résiliente des femmes autochtones », Jeu, no 165, 2017, p. 31-35.
Chantal Guy, « Natasha Kanapé Fontaine : au nom des siennes », La Presse, 22 janvier 2018, en ligne.
Jean Désy, « Codes et voix innues contemporaines », Québec français, no 149, hiver 2018, p. 10-15.
Richard Terrien, « Beaucoup plus qu’un personnage », Le Soleil, 17 février 2018, p. A6-A7.
Patricia Rainville, « Natasha Kanapé Fontaine : briseuse de perceptions », Le Quotidien, 29 mars 2018, p. 10.
Mario Cloutier, « Joséphine Bacon et Natasha Kanapé Fontaine : entre mémoire et révolte », La Presse, 30 mai 2018, en ligne.
Franceska Hébert, « « Robert Lepage n’a rien compris » », Le Quotidien, 7 août 2018, également en ligne.
Mylène Moisan, « Celle qui revit par Eyota Standing Bear », Le Soleil, 10 octobre 2018, également en ligne.
« Natasha Kanapé Fontaine : Innu et artiste engagée », Le Monde, hors-série, octobre-décembre 2018, p. 64.
Marc Cassivi, « La sage et l’indignée », La Presse +, 12 décembre 2018, en ligne.
Marc-Olivier Bherer, « Natasha Kanapé Fontaine : Innue et rien d’autre », Le Monde, 16 décembre 2018, également en ligne.
« Natasha Kanapé Fontaine, d’amour et de colère », dans Jean Royer, L’autre parole : poèmes didactiques, Montréal, Éditions du Noroît, 2019, p. 157-160. (coll. Chemins de traverse)
Nathalie Collard, « Décennie 2010 : Natasha Kanapé Fontaine – se réapproprier sa voix », La Presse, 8 décembre 2019, en ligne.
Éric Martin, « L’ascension de Natasha Kanapé Fontaine portée à l’écran », Le Nord-Côtier, 16 janvier 2020, également en ligne.
Marie Tison, « Nin e tepueian – Mon cri : un grand voyage avec Natasha Kanapé Fontaine », La Presse, 24 janvier 2020, en ligne.
Mathilde Recly, « Natasha Kanapé Fontaine perce le silence et l’indifférence dans Nin e Tepueian – Mon cri : entrevue avec l’artiste et militante innue engagée », Bible urbaine, 24 janvier 2020, en ligne.
Catherine Lemieux Lefebvre, « Une voix pour se faire entendre : Nin e Tepueian – Mon cri de Santiago Bertolino », Ciné-Bulles, vol. 38, no 2, printemps 2020, p. 51.
Sabrina Lavoie, « Dans le regard (et les mots) de Natasha Kanapé Fontaine », La Tribune, 17 juin 2020, en ligne.
Valérie Boisclair, « Racisme systémique : Elisapie et Natasha Kanapé Fontaine interpellent Legault », Radio-Canada, 1er octobre 2020, en ligne.
Amélie Revert, « Natasha Kanapé Fontaine et Patrick Watson pour la cause autochtone », Métro, 3 novembre 2020, en ligne.
Jennifer Dummer, « Mit meiner Dichtung kehre ich nach Hause zurück : ein Interview mit Natasha Kanapé Fontaine », Kultur Austausch, no 4, 2020, en ligne [en allemand].
Marie-Laure Josselin, « Natasha Kanapé Fontaine : droit devant malgré la pandémie », Radio-Canada, 13 décembre 2020, en ligne.
Delphine Jung, « Autochtones et allochtones prêts pour un dialogue ouvert sur le racisme? », Radio-Canada, 20 janvier 2021, en ligne.
Anne-Lovely Étienne, « La promesse à Joyce de Natasha Kanapé Fontaine », 24 heures, 17 juin 2021, p. 10.
Philippe Côté-Giguère, « Porteurs de plumes : Entretien avec Natasha Kanapé Fontaine », ARTV, 18 juin 2021, en ligne.
Jérémie McEwen, « Natasha Kanapé Fontaine : se reconstruire puis se rencontrer », La Presse, 8 août 2021, en ligne.
Lucie Charest, « Exposition de Natasha Kanapé Fontaine au Rift : une première », Le Citoyen, 25 août 2021, en ligne.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, « Dans les mots des auteurs innus », L’actualité, 3 novembre 2021, en ligne.
[Anonyme], « Natasha Kanapé Fontaine met sa poésie en musique sur le microalbum Nui Pimuten », ICI Radio-Canada, 10 novembre 2021, en ligne.
Léa Harvey, « Natasha Kanapé Fontaine : Ancrée dans le présent, prête pour l’avenir », Le Soleil, 13 novembre 2021, en ligne.
Marie-France Bornais, « Nauetakuan, un silence pour un bruit : guérir des violences du passé », Le Journal de Montréal, 13 novembre 2021, en ligne.
Amélie Revert, « Faire du bruit pour Natasha Kanapé Fontaine », Journal Métro, 19 novembre 2021, en ligne.
Marc Cassivi, « Natasha Kanapé Fontaine : semaine de premières », La Presse, 20 novembre 2021, en ligne.
Manon Dumais, « Natasha Kanapé Fontaine retrouve ses racines », Le Devoir, 20 novembre 2021.
Véronik Picard, « Natasha Kanapé Fontaine, artiste innue aux talents multiples », Radio-Canada / International, 28 novembre 2021, en ligne.
Stéphane Plante, « Dans l’univers musical de Natasha Kanapé Fontaine », Journal 24 heures, 9 février 2022, en ligne.
Marjolaine Mckenzie, « Natasha Kanapé Fontaine et les rituels de la parole », Jeu, no 182, 2022, p. 82-89.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, « 5 livres pour entrer dans l’univers de Natasha Kanapé Fontaine », L’actualité, 26 juillet 2022, en ligne.
Comptes rendus
Aggie Perrin, « N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures », Les Libraires, no 74, décembre 2012, p. 19, en ligne.
Thuy Aurélie Nguyen, « Trouver son cri », Le Mouton noir, 10 décembre 2012, en ligne : [sur N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures].
Maxime Catellier, « Heureux comme avec une femme », Les Libraires, no 75, février 2013, p. 15 [sur N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures].
Julie Nadeau Lavigne, « L’âme en captivité » [sur N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures], Cousins de personnes, février 2013.
Jacques Paquin, « Des chaussures trop lourdes à porter », Lettres québécoises, no 150, été 2013, p. 41 [sur N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures].
Alice Lefilleul, « Un cri de papier : Manifeste Assi de Natasha Kanapé Fontaine » l’Artichaut, 19 mai 2014, en ligne.
Hugues Corriveau, « Manifeste Assi », Le Devoir, 2 mai 2015, p. F2.
Jonathan Lamy, « Manifeste Assi », Collections, vol. 2, no 5, septembre 2015, p. 34.
Hugues Corriveau, « Le chant d’amour de Natasha Kanapé Fontaine », Le Devoir, 20 février 2016, p. F3 [sur Bleuets et abricots].
Maelle Besnard, « Bleuets et abricots : l’oeuvre d’une poétesse accomplie », Le Manic, 5 mars 2016.
Laurence Veilleux, « Vers le Pays mien de Natasha Kanapé Fontaine », Le Mouton noir, 22 mars 2016, en ligne : [sur Bleuets et abricots].
Lysane Picker-Paquin, « De qui as-tu peur quand tu cesses de parler », Le Mouton noir, 17 mai 2016, en ligne : [sur Kuei, je te salue].
Alexandra Mignault, « Dialogue contre le racisme », Les Libraires, contenu web mis en ligne en juin 2016 : [sur Kuei, je te salue].
Anne Kichenapanaïdou « Kuei, je te salue : Conversation sur le racisme », Les libraires, no 95, juin 2016, p. 53.
Catherine Lalonde, « Antiracisme 101 », Le Devoir, 7 mai 2016, p. F1 [sur Kuei, je te salue].
Victor Bégin, « Nanimissuat / Île Tonnerre », Les Méconnus, 10 avril 2018.
Sophie-Claude Miller, « Natasha Kanapé Fontaine lance un nouveau recueil », Radio-Canada, 20 avril 2018 [sur Nanimissuat / Île Tonnerre].
Dominic Tardif, « Natasha Kanapé Fontaine et la puissance salvatrice de l’éclair », Le Devoir, 21 avril 2018 [sur Nanimissuat / Île Tonnerre].
Jérémy Laniel, « Critiques pour emporter : Nanimissuat / Île tonnerre », Lettres québécoises, no 170, été 2018, p. 88.
Baron Marc-André Lévesque, « Natasha Kanapé Fontaine, Nanimissuat / Île-tonnerre», À bâbord!, no 76, octobre-novembre 2018, en ligne.
François Jardon-Gomez, « Tshishikushkueu, la femme des territoires [Sur un spectacle de Natasha Kanapé Fontaine] », Le Devoir, 29 août 2019, p. B7, également en ligne.
Marie-Christine Lemieux-Couture, « Tshishikushkueu : émerger de la parole », Jeu : revue de théâtre, 29 août 2019, en ligne.
Catherine Lemieux Lefebvre, « Une voix pour se faire entendre : Nin e Tepueian – Mon cri de Santiago Bertolino », Ciné-Bulles, vol. 38, no 2, printemps 2020, p. 51.
David Laporte, « Sur le racisme : Dany Laferrière, Deni Ellis Béchard, Natasha Kanapé Fontaine », Nuit blanche, no 164, automne 2021, p. 24-.26.
Marie-Andrée Gill, « La résurgence autochtone par l’écriture du présent », Les libraires, no 130, 5 avril 2022, en ligne [sur Nauetakuan, un silence pour un bruit].
En anglais
Dominique Godrèche, « Understand Our Culture, or Lose It: Innu Poet Natasha Kanapé Fontaine on Language », Indian Country Today, 6 juillet 2015, en ligne.
Jaime Forsythe, « Do Not Enter My Soul in Your Shoes », Montreal Review of Books, automne 2015, en ligne.
Pearl Pirie, « Assi Manifesto », Montreal Review of Books, été 2016, en ligne.
Jeanetta Calhoun Mish, « Assi Manifesto by Natasha Kanapé Fontaine », World Literature Today, janvier 2017, en ligne.
Jeanetta Calhoun Mish, « Blueberries and Apricots by Natasha Kanapé Fontaine », World Literature Today, printemps 2019, en ligne.
Sunny Chan, « Rewilding Poetry : Natasha Kanapé Fontaine, Blueberries and Apricots », Canadian Literature, 24 mai 2019, également en ligne.
Malou Brouwer, « Surviving and Challenging the Colonized Scene of Translation: Innu in Natasha Kanapé Fontaine’s Poetry », Studies in American Indian Literatures, vol. 33, nos 3-4, Fall-Winter 2021, p. 53-75.
Études : articles et chapitres
Alena Barysevich et Rosalie Fortin Choquette, « Enseigner la poésie engagée de façon engageante : Instagram », Nouvelle Revue Synergies Canada, nº 14, 2021, p. 1-24, en ligne.
Karine Bertrand, « Auto-histoires et représentations communautaires dans le cinéma des femmes autochtones », Canadian Journal of Film Studies / Revue canadienne d’études cinématographiques, vol 29, no 1, 2020, p. 69-89 [à propos de Manifeste Assi].
Marie-Eve Bradette, « Langue française ou langue autochtone ? Écriture et identité culturelle dans les littératures des Premières Nations », Captures, vol. 3, no 1, mai 2018, dossier « La notion d’“autochtonie” », en ligne.
Marie-Eve Bradette, « Elles se relèvent : penser la résurgence dans la langue et la littérature Innues », Analyses, vol 14, no 1, printemps-été 2019, p. 98-123.
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Études : thèses et mémoires
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Céline De Laissardière, Poétique des possibles par des œuvres littéraires d’auteures innues dans le discours social québécois, Mémoire (M.A.), Université Laval, 2020.
Isabella Huberman, « Le militantisme et l’intime chez Natasha Kanapé Fontaine », Pratiques et poétiques des histoires personnelles dans les littératures autochtones francophones au Québec, Thèse (Ph. D.), Université de Toronto, 2019, p. 78-90.
Flavie Maxence Leclair, Natasha Kanapé Fontaine : une parole de réconciliation?, Thèse de maîtrise (M.A.), Université d’Ottawa, 2018.
Alice Lefilleul, Animismes : de l’Afrique aux Premières Nations, penser la décolonisation avec les écrivains, Thèse (Ph. D.), Université de Montréal, 2018.
Florence Morin-Martel, L’intermédialité autochtone dans l’œuvre de Natasha Kanapé Fontaine : mémoire, oralité et territoire, Mémoire (M.A.), Université de Montréal, 2018.
Marie-Claire Nadeau, Entendez-vous Nutshimit parler? : les poétesses innues et la résonance de l’ontologie territoriale, Mémoire (M.A.), Université Laval, 2023.