Biographie
Née en 1986, Marie-Andrée Gill est une poète ilnue originaire de la Mashteuiatsh. Bercée par les vagues du Lac-Saint-Jean jusqu’à l’âge de 22 ans, elle s’intéresse d’abord à la poésie par amour. Elle fait alors la découverte de Gaston Miron et de plusieurs autres auteurs québécois qui influencent sa plume. Détentrice d’une maîtrise en littérature, Marie-Andrée Gill utilise la poésie à la fois comme un acte politique et de gratitude face au monde, ses défis et sa beauté. Elle affectionne l’objet livre et les formes artisanales de publication.
Son premier recueil de poésie, Béante, est un projet personnel réalisé à compte d’auteur avec une reliure artisanale avant d’être publiée chez La Peuplade en 2012. Ce premier recueil lui vaut une nomination aux Prix littéraires du Gouverneur général 2013. Son deuxième recueil, Frayer (La Peuplade, 2015), raconte sa jeunesse à Mashteuiatsh alors que son troisième livre, Chauffer le dehors (La Peuplade, 2019) raconte une peine d’amour. Chacun de ses recueils est salué de façon unanime par la critique. Ils remportent tous les trois le prix Poésie des Prix littéraires du Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean (2013, 2016, 2019). L’autrice signe également de nombreuses contributions dans des revues et des collectifs, dont Le cœur-réflexe (Possibles Éditions, 2017), Oùrs (Possibles Éditions, 2019) et Wapke (Stanké, 2021). Sa démarche change et évolue au fil du temps, mais demeure une recherche identitaire, un travail intense sur la métaphore et les images. Elle désire avant tout partager ses mouvances intérieures.
Livres de poésie
Béante, Chicoutimi, La Peuplade, 2012 [1ère édition à compte d’auteur en 2011; réédition à La Peuplade en 2015].
Frayer, Chicoutimi, La Peuplade, 2015.
Chauffer le dehors, Chicoutimi, La Peuplade, 2019.
Zines / micro-édition
Motel TV couleur (avec Max-Antoine Guérin), compte d’auteur, 2014.
Les Daltons (illustrations de Laurence Lemieux), Lapin lièvre, no 4, 2014.
Au village (illustrations de Julie Vanessa Tremblay), Alma, Éditions OQP, coll. « Immersion », 2017.
En revues, collectifs, anthologies et autres
[Poème], Québec français, no. 162, dossier « Littérature amérindienne », été 2011. p. 20.
« Moi aussi », Poème sale, juin 2013, en ligne.
« Uapukun », Hopala! La Bretagne au monde, no. 43, dossier « Premières nations du Québec », 2013, p. 39-41.
« Une vingt-quatre à taire », Poème sale, novembre 2013, en ligne.
« Magaziner des princesses », Exit, revue de poésie, no 77, 2014, p. 62-63.
« Ilnu / Ilnu », Languages of Our Land : Indigenous Poems and Stories from Québec / Langues de notre terre : Poèmes et récits autochtones du Québec, sous la direction de Susan Ouriou, Banff Center Press, 2014, p. 63-68.
« Ton corps est un braconnage », Art Le Sabord, no 100, mars 2015, p. 36-38; également en ligne.
« La Ronde », concours littéraire Damase-Potvin 2015 [cliquez ici pour la version pdf].
« Jour et nuit les chiens », Art Le Sabord, no 102, octobre 2015, p. 19-23; également en ligne.
« Une nuit », Inter, art actuel, no 122, dossier « Affirmation autochtone », 2016, p. 60.
« L’humain est une chose comme une autre : Si et seulement si alors de Nélanne Racine », Zone occupée, no 11, 2016, p. 36-41.
« Les caribous électriques » (avec Natasha Kanapé Fontaine), Zone occupée, no 11, 2016, p. 42-45; également en ligne.
« Femmes de personne », Estuaire, no 165, été 2016, p. 41-48; également en ligne.
« Le mot Amour », Les femmes rapaillées, sous la direction d’Isabelle Duval et de Ouanessa Younsi, Montréal, Mémoire d’encrier, 2016, p. 70-75.
Participation au numéro collectif « La revue comme action », Inter, art actuel, no 124, automne 2016.
« Cordillère » (avec Sébastien Dulude et Roseline Lambert), Cousins de personne, octobre 2016, en ligne.
« Sudbury nous a créés », Zone occupée, no 12, 2016, p. 42-45; également en ligne.
« Le désordre des autres », Le coeur-réflexe, Montréal, Possibles Éditions, 2017.
« Au village », Lettres québécoises, no 167, automne 2017, p. 82-83.
« Lettre à l’hiver », Spirale, no 263, hiver 2018, p. 5.
« Tshin nin mak pupun » (avec Rita Mestokosho), dans Sara Dignard (dir.), Ce qui existe entre nous : dialogues poétiques, Montréal, les éditions du passage, 2018, p. 67-75.
[Poèmes], Ancrages, no 20, printemps 2019, également en ligne.
« Marie-Andrée Gill dans l’univers de Roseline Lambert : la poésie, c’est comme faire du pain », Les libraires, no 112, avril-mai 2019, p. 26-28, également en ligne.
« Archéologie de soi au présent et décolonisation : une démarche d’écriture », dans Luc Vaillancourt, Sandrine Tailleur et Émilie Urbain (dir.), Voix autochtones dans les écrits de la Nouvelle-France, Paris, Hermann, 2019, p. 45-52. (coll. République des Lettres).
« Uatashku », dans Marie-Andrée Gill et collab., Oùrs, Montréal, Possibles Éditions, 2019, p. 38.
« Eukuan nin matshi-manitu innushkueu / Je suis une maudite Sauvagesse d’An Antane Kapesh », Nuit blanche, no 156, automne 2019, p. 10-11.
« Lâche du lousse », série de poèmes sur l’enseigne lumineuse de Dare-Dare, juillet à novembre 2020, en ligne.
[sans titre], dans Mark Lanctôt et François LeTourneux (dir.), La machine qui enseignait des airs aux oiseaux, Montréal, Musée d’art contemporain de Montréal, 2020.
« La terre est notre mère », poème reproduit sur deux panneaux dans la ville de Saguenay avec traduction en innu et atikamekw, décembre 2020.
[Trois extraits de Chauffer le dehors], dans Vanessa Bell et Catherine Cormier-Larose (dir.), Anthologie de la poésie actuelle des femmes au Québec (2000-2020), Montréal, Éditions du Remue-Ménage, 2021, p. 112-115.
« Nitassinan », Liberté, no 331, été 2021, p. 54-55.
« Éclaireuses 15 – Marie-Andrée Gill + Laurence Hervieux-Gosselin », Centre VU, 27 mai 2021, en ligne.
« Neka (récit innu) », Châtelaine, 2 juin 2021, en ligne.
« Dix jours sur écorce de bouleau », dans Michel Jean (dir.), Wapke, Montréal, Stanké, 2021 p. 9-19.
Livres en traduction
Between the Moments, Toronto, BookLand Press, coll. « Canadian Aboriginal Voices », 2014 [traduction de Béante par Jacques Lefebvre].
Spawn, Toronto, Book*hug Press, 2020 [traduction de Frayer par Kristen Renee Miller].
Traduction en revues et collectifs
« Ilnu », dans Susan Ouriou (dir.), Languages of Our Land: Indigenous Poems and Stories from Quebec / Langues de notre terre : poèmes et récits autochtones du Québec, Banff, Banff Centre Press, 2014, p. 69-74 [traduction par Christelle Morelli].
« to lick the skin of the water with a tongue », Guernica, 26 juin 2017, en ligne [traduction par Kristen Renee Miller].
« From Frayer, by Marie-Andrée Gill », Tupelo Quarterly, 14 juin 2017, en ligne [traduction par Kristen Renee Miller].
« Six Poems from Frayer », The Offing, 27 juin 2017 [traduction par Kristen Renee Miller].
« Four Poems from Frayer », Kenyon Review, vol. 41, no 2, mars-avril 2019, p. 74 [traduction par Kristen Renee Miller], également en ligne.
« Marie-Andrée Gill: Poems in Translation from Spawn », The Common, 8 janvier 2020, en ligne [traduction par Kristen Renee Miller], en ligne.
Mémoire de maîtrise
Chauffer le dehors suivi de Amour transpersonnel et décolonial, Mémoire (M.A.), Université du Québec à Chicoutimi, 2019.
Finaliste aux prix littéraires du Gouverneur général 2013 (pour Béante)
Prix littéraire Poésie du Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2013 (pour Béante)
Prix littéraire Damase-Potvin 2015 (pour le texte « La Ronde »)
Finaliste au prix Émile-Nelligan 2015 (pour Frayer)
Prix littéraire Poésie du Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016 (pour Frayer)
Prix de poésie Jean-Lafrenière-Zénob 2018 (Festival international de la poésie de Trois-Rivières)
Prix Voix autochtones (Indigenous Voices Awards) 2018 – suite poétique inédite en français
Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean 2019, catégorie poésie (pour Chauffer le dehors)
Finaliste au prix Émile-Nelligan 2019 (pour Chauffer le dehors)
Prix Voix autochtones (Indigenous Voices Awards) 2020 – poésie en français (pour Chauffer le dehors)
Prix du CALQ – Artiste de l’année au Saguenay–Lac-St-Jean 2020
« Too much » (réalisation : Marie-Andrée Gill), Wapikoni mobile, 2006, en ligne.
« Méchante », lecture à la Soirée 3REG du 12 mars 2013, MA tv, en ligne.
Serge Bouchard tient salon au Cercle avec Jean Désy et Marie-Andrée Gill, Productions Rhizome, février 2014, en ligne.
« Béante de Marie-Andrée Gill » (réalisation : Sylvie Gravel), La fabrique culturelle, mars 2014, en ligne.
« Apéro littéraire avec Marie-Andrée Gill », Ici Saguenay–Lac-St-Jean, août 2015, en ligne.
« Présentation du livre Frayer » (réalisation : Sophie Gagnon-Bergeron), La Peuplade, décembre 2015, en ligne.
« Occuper le territoire de la langue », conférence de Marie-Andrée Gill à l’Université Laval, octobre 2016, en ligne sur Le Crachoir de Flaubert.
« Frayer de Marie-Andrée Gill » (réalisation : Sylvie Gravel), La fabrique culturelle, octobre 2016, en ligne.
Conférence à l’Université du Québec à Chicoutimi, Chaire de recherche sur la parole autochtone, octobre 2017, en ligne.
« Tanière » (réalisation : Geneviève Allard), Tout à coup la poésie, novembre 2017, en ligne.
« Cercle de lecture Poésie et thé (Frayer, par Marie-Andrée Gill) », animé par Caroline Louisseize et organisé par La poésie partout, en collaboration avec l’Espace de la diversité et Littérature québécoise mobile, 29 juin 2018, en ligne.
« YouTube », poème pour le projet Solitudes, organisé par la Maison de la littérature et le Festival acadien de poésie, Ancrages, no 20, en ligne.
Marie-Louise Arsenault, « Chauffer le dehors, de Marie-Andrée Gill : se réapproprier le territoire et la guérison par l’amour et la poésie [Entrevue] », Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première, 28 février 2019, en ligne.
Les conférences du savoir – BAnQ : entretien avec Joséphine Bacon [Animé par Marie-Andrée Gill], Savoir média, 11 septembre 2019, en ligne.
Lecture pour Les p’tites nuits de la poésie, Mois de la poésie et La Fabrique culturelle, 25 mars 2020, en ligne.
Animation de la série de balados Laissez-nous raconter : L’histoire crochie, juin 2020, en ligne.
Sylvie Gravel (réalisation), Marie-Andrée Gill, lauréate du Prix du CALQ – Artiste de l’année au Saguenay–Lac-Saint-Jean, La fabrique culturelle, novembre 2020, en ligne.
« Vision du monde d’une poète innue », entrevue avec Joanie Gill à l’émission Phare Ouest, Radio-Canada, février 2021, en ligne.
Portraits, commentaires et études
Jean-François Caron, « La plume autochtone / émergence d’une littérature », Lettres québécoises, no 147, automne 2012, p. 12-15.
Louise Dupré, « Commentaire du jury [sur Frayer] », Fondation Émile-Nelligan, mai 2016, en ligne.
Sandrine Galand, « Rire pour ne pas mourir : La survivance à l’oeuvre dans l’écriture de Marie-Andrée Gill », Liberté, no 314, hiver 2017.
Cloé Hurtubise, « Marie-Andrée Gill : “rester fidèle à l’ordinaire” », Impact Campus, octobre 2016, en ligne.
Marie-Hélène Jeannotte, « Entretien avec Marie-Andrée Gill », Littoral, no 10, printemps 2015, p. 135-136.
Paul Kawczak, « Marie-André Gill : présence vivante », Nuit blanche, no 150, printemps 2018.
Jonathan Lamy, « Quand la poésie amérindienne réinvente l’image de l’Indien », Temps zéro : écritures contemporaines, no 7, dossier « Imaginaires autochtones contemporains », décembre 2013, en ligne.
Jonathan Lamy, « Le vent dans les pièges », préface à la réédition de Béante, Chicoutimi, La Peuplade, 2015, p. 5-10.
Luc Vaillancourt et Paul Kawczak, « La poésie lumineuse de Marie-André Gill. Ou comment sublimer les stéréotypes », Captures, vol. 3, no 1, dossier « La notion d’autochtonie », mai 2018, en ligne.
Florence François, « Comment un processus de décolonisation de l’inconscient collectif peut-il s’inscrire dans une littérature innue en français? », Trahir, juillet 2018, en ligne.
[Anonyme], « 10 questions à Marie-André Gill », Portraits d’auteurs, Bibliothèque des Amériques, décembre 2019, en ligne.
Mario Cloutier, « Littérature : Marie-Andrée Gill, l’équilibriste », En toutes lettres, 5 août 2019, en ligne.
Marie-Eve Bradette, « Elles se relèvent : penser la résurgence dans la langue et la littérature Innues », Analyses, vol 14, no 1, printemps-été 2019, p. 98-123.
Marie-Eve Bradette, « Une poésie entre désir et langage : Frayer de Marie-Andrée Gill », Langue(s) en portage : résurgences et épistémologies du langage dans les littératures autochtones contemporaines, Thèse (Ph. D.), Université de Montréal, 2020, p. 111-128.
Dominic Tardif, « Quand l’amitié devient raison d’espérer », Le Devoir, 20 juin 2020.
Céline De Laissardière, Poétique des possibles par des œuvres littéraires d’auteures innues dans le discours social québécois, Mémoire (M.A.), Université Laval, 2020.
Daniel Côté, « Marie-Andrée Gill, artiste de l’année dans la région », Le Quotidien, 26 novembre 2020, en ligne.
Anne-Marie Gravel, « Marie-Andrée Gill: choisir les mots comme armes douces », Le Quotidien, 6 mars 2021, en ligne.
Erika Soucy, « Lettre à Marie-Andrée Gill », Lettres québécoises, no 180, printemps 2021, p. 92-93.
Yves Tremblay, « L’autrice Marie-Andrée Gill, une écriture décoloniale et imagée », Convergence, no 175, juillet 2021.
Comptes rendus – Béante
Hugo Beauchemin Lachappelle, « Béante », Poème sale, novembre 2012, en ligne.
Sébastien Dulude, « Béante », Lettres québécoises, no 150, été 2013, p. 37; également en ligne.
Christian Girard, « Béante », Les Libraires, no 74, décembre 2012, p. 19; également en ligne.
Jean-François Leblanc, « Béante », Québec français, no 168, hiver 2013, p. 12.
Chloé Leduc-Bélanger, « Béante : se combler de mots », Les Méconnus, octobre 2013, en ligne.
Valérie Lessard, « Les racines de la poésie du Nord », Le Droit, 2 novembre 2013; également en ligne.
Lucie Renaud, « Béante », La Recrue du mois, janvier 2013, en ligne.
David Sioui, « Béante de Marie-Andrée Gill », La griffe du carcajou, novembre 2012 [n’est plus en ligne].
Comptes rendus – Frayer
Hugues Corriveau, « Frayer de Marie-André Gill », Le Devoir, 24 décembre 2015.
Monique Deland, « Trois mondes à l’oeil », Les Écrits, no. 148, novembre 2016, p. 183-194.
Clara Lagacé, « La poésie de la ouananiche », Le fil rouge, août 2016, en ligne.
Jonathan Lamy, « Frayer de Marie-André Gill », Littoral, no 11, automne 2016, p. 75.
Rachel Leclerc, « Frayer de Marie-André Gill », Lettres québécoises, no 162, été 2016, p. 45.
Élizabeth Lord, « Frayer : une poésie des possibles », Les Méconnus, décembre 2015, en ligne.
Katherine M. Hedeen, « March 2020 Micro-Reviews: Marie-Andrée Gill. Spawn », Kenyon Review, mars 2020, en ligne.
Steven W. Beattie, « The Haunted Hand by Louise Dupré & Spawn by Marie-Andrée Gill », Quill & Quire, 2 avril 2020, en ligne.
Rachael Daum, « ALTA Staff Recommends… Spawn by Marie-Andrée Gill », The American Literary Translators Association, 9 avril 2020, en ligne.
Stacy Pratt, « “yes the body”: A Quarantined Review of Spawn and day/break », Anomaly, 20 mai 2020, en ligne.
Barb Carey, « Spawn by Marie-Andrée Gill », Toronto Star, 11 juillet 2020, en ligne.
Comptes rendus – Chauffer le dehors
Marie-Eve Boisvert, « Chauffer le dehors : la nouvelle parution lumineuse de Marie-André Gill », atuvu.ca, 23 février 2019, en ligne.
Daniel Côté, « Quand la nature se fait réparatrice », Le Quotidien, 23 février 2019, également en ligne.
Dominic Tardif, « Prendre le temps de bien souffrir », Le Devoir, 23 février 2019, également en ligne.
Justine Saint-Pierre, « Les libraires conseillent : Chauffer le dehors de Marie-Andrée Gill », Les libraires, mars 2019, également en ligne.
Marie-Lise Rousseau, « Marie-Andrée Gill, sacraliser la beauté du quotidien », Journal Métro, 8 mars 2019, également en ligne.
Jérémy Laniel, « Chauffer le dehors de Marie-Andrée Gill », Lettres québécoises, no 173, mars 2019.
Marise Belletête, « Chauffer le dehors de Marie-Andrée Gill : des poèmes pour contrer l’isolation », Les Méconnus, 16 mars 2019, en ligne.
Tina Laphengphratheng, « Chauffer le dehors pour se chauffer le dedans », Le Mouton Noir, 17 mars 2019, également en ligne.
Véronique Côté, « Ce bois dont je me chauffe », Le Devoir, 6 avril 2019, également en ligne.
Toby Germain, « Chauffer le dehors de Marie-Andrée Gill », Les libraires, no 113, juin-juillet-août 2019, p. 26, également en ligne.
Denise Brassard, « Apprendre de la disparition » Voix et Images, vol. 44, no 3, printemps-été 2019, p. 201-210, également en ligne.
Marie Anne Bérard, « Chauffer le dehors : la réponse au dedans », Le fil rouge, 23 juin 2019, en ligne.
Rose Carine Henriquez, « Les auteurs d’ici sous le sapin », Le Devoir, 23 novembre 2019, p. C22, également en ligne.